Second tour des élections au Conseil des États :
Soutenons une économie responsable.
Face aux défis posés par les limites planétaires et les enjeux économiques qui en résultent, il est essentiel d'élire une personnalité défendant les valeurs entrepreneuriales, capable de soutenir les PME, la formation professionnelle indispensable à la transition de notre société, et le développement cohérent de nos infrastructures.
Les résultats des élections fédérales du 22 octobre ont d'importantes répercussions sur l'environnement.
Dans le canton de Vaud, nous avons l'opportunité d'envoyer Raphaël Mahaim, un excellent conseiller national, pour renforcer la voix du climat et de l'environnement à la chambre haute. En face de lui se trouve le candidat de l'Alliance vaudoise PLR-UDC-Centre, Pascal Broulis.
Cette élection ne se résume pas à une simple opposition de vision ou de valeurs. Il s'agit de soutenir le candidat le plus apte à défendre nos valeurs au Conseil des États tout en demeurant innovant, moteur de changement et réaliste face à l'urgence climatique. Les entreprises membres de notre fédération estiment qu'il est crucial de bénéficier de bonnes conditions-cadre, notamment en favorisant la coopération avec d'autres pays voisins. Malheureusement, le Bloc UDC-PLR, qui représente l'Alliance vaudoise, a lancé durant la campagne des attaques massives contre les possibilités pour les entreprises de recruter une main-d'œuvre qualifiée et contre le renforcement de notre région en tant que pôle d'excellence dans des domaines tels que la recherche ou les nouvelles technologies.
Comme on l'entend souvent, "s'abstenir de voter revient à donner voix aux partis hostiles à nos convictions". C'est pourquoi nous vous encourageons vivement à soutenir sans réserve notre candidat, membre de la Fédération suisse des entreprises, Raphaël Mahaim.
Votre vote compte, et ensemble, nous pouvons influencer l'avenir de notre économie tout en préservant notre planète. Engageons-nous pour une Suisse durable, progressiste et prête à affronter l'avenir.
